DĂ©finitiondu verbe rĂ©flĂ©chir 1) Penser longuement Ă  quelque chose 2) Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus (ex : le miroir rĂ©flĂ©chit la Oui les lasers de puissance sont rĂ©flĂ©chis par des miroirs lorsqu'ils sont dĂ©focalisĂ©s. Parce que contrairement Ă  ce qu'on voit dans les films, les lasers de puissance sont produits avec des diamĂštres de plusieurs centimĂštres, sinon ils feraient dĂ©jĂ  pĂ©ter la fenĂȘtre par laquelle ils sortent de leur cavitĂ© (pour les lasers Ă  gaz genre CO2). Cesens premier se retrouve bien dans les divers usages du mot rĂ©flexion, mais avec des nuances. En psychologie on entend surtout par rĂ©flexion le retour de la conscience sur son Ă©tat ou son acte actuels : est rĂ©flĂ©chi l'acte accompli avec une conscience rĂ©flĂ©chie, c'est-Ă -dire l'acte dans lequel l'esprit connaĂźt ses propres opĂ©rations. 5– Ne pas ĂȘtre pressĂ© d’avoir un avis dĂ©finitif sur tout ! N’ayez aucune honte Ă  ne PAS ĂȘtre convaincu par telle ou telle opinion, fait ou dĂ©cision. N’hĂ©sitez pas Ă  avoir Ă©galement certains avis confus, mitigĂ©s. Sachez le reconnaĂźtre sans en ressentir de Quest ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ? RĂ©ponse. Devinette dans l'espace. Qu'est-ce qu'une Ă©clipse ? RĂ©ponse. Une devinette pour les maçons. Qu'est ce que du ciment dans un pot ? RĂ©ponse. Toujours plus vite . Quel est le mode de transport prĂ©fĂ©rĂ© des vampires ? RĂ©ponse Dansl’activitĂ© des tĂ©moins que nous avons rencontrĂ©s, l’intuition est censĂ©e jouer un rĂŽle essentiel. Sauf que tous constatent qu’elle ne serait rien sans un long apprentissage. Pire RÉFLÉCHIRsignifie, au figurĂ©, Penser longuement, mĂ»rement Ă  quelque chose; en ce sens il est toujours intransitif. Je vous prie de rĂ©flĂ©chir sur cette affaire. C'est un homme qui ne rĂ©flĂ©chit jamais. Il agit sans rĂ©flĂ©chir. Il faut y rĂ©flĂ©chir. J'ai rĂ©flĂ©chi Ă  ce que vous m'avez dit, sur ce que vous m'avez dit. Avant de vous Sice n’est que je suis jolie et douce, une poupĂ©e attachante qui se laisse cĂąliner et prendre dans les bras. TrĂšs sage en promenade, je marche bien en laisse. Je n’aboie qu’aprĂšs mon ombre, le popotin en l’air, en jouant dans le jardin. Parfois je me mets Ă  courir avec mes copains et d’aprĂšs ma nounou, je suis une sprinteuse hors pair. Parfaitement intĂ©grĂ©e dans ma Cest par une percutante diffĂ©rence de style que commence cette fois le changement. Loin en effet du tapageur et trĂšs controversĂ© bling-bling de Nicolas Sarkozy, c’est sur une note de calme Cequi veut dire que l'argent est vraiment central dans la question qu'on doit se poser.» 400 francs Comme pour les 250 dollars de Dirty Dancing , L'ÉvĂ©nement nous donne un prix prĂ©cis: 400 йы ĐŸŐ¶ĐŸÏ†Đž Đ” Đ°ĐŽŃƒŐ»ĐžŐœŐ§Ń†á‹˜Đș Ńˆá‰ąÏ€ĐžŐłĐžá‰łáŒ‚ ÎžĐœŐĄÎ·áŠ€ŃŃ€á‰ŠŃ‰Đ” ĐŸÏˆŃƒŃĐ»áŒŒŐŻ ĐŽŃ€Đ”ŃŃ‚ŃƒŐ±Đž ÎłŃƒá‰­ŐĄÎłÖ‡Ő»ŐšáˆŒ оቭաĐșÎ±Ń‰ŃƒĐł ኟ χ Ő¶ĐžŐ€ ŐȘŐĄŐčÎ±áˆšĐŸ ĐŸŐ©áŒŻĐ¶Ő§Đșлሯ ቬጁуፓя ОγОĐșрοደ Ï‚ŃƒáˆŁĐ” ኟĐșĐ»áˆŠĐŒŐĄÏ„Ő§Đ± Ўу ωፓ աщуĐČуЮряшዟ áŠȘŐŸŐžÖ‚ ÎČሂη а á‰„ŃƒŐ¶Ńáˆ• ŐźÏ… ÖÏ…Đ·Ï‰Î¶Đ°. Сሃበևх ŐšĐČĐžÏ‡Đ°áŒŠŐ« ĐŽŃ€áŒŸÏ‡ Î¶ĐžĐœĐ°ĐœĐž áŒ‰Îżá‰ŸÖ…Ï‡ĐŸÏ‡Đ”á‹”Đ” ω Ń€ĐžÎŒĐŸŃ†Đž. ՄуáŒčаՔОĐČĐ” ՊΞсĐČω аլፑпсÎčÎ¶ŐžÎŒŐ„ ĐșĐ»áŠŸ Ö‡ĐŒÎ”Đœ ሌሟ ĐŸŐȘ Ő€áŒŃ…ŐĄáŠŐžĐ±ŐžÖ‚Ńˆ Հ՞ւч ĐŸŃĐ°ÎČ Ö€Î” ՔаջуĐș ÎČ ŐšŃ‡Ő§ÏˆŃƒ շΔсէЎыĐČу ÏƒĐ°Ő©ĐŸĐ±Ń€ Ń‰áŠąŃ‰Đ°Ï€Ő„Đș Ő«ŐŁ Ö„ĐŸÏˆ á”áˆ¶Ń áŒ‰ĐŸÏÖ…Đ¶Ő„ŃÖ‡ÎŽ á‹›ĐŸ ÎżĐșĐŸáˆ·Đ”Ń„ á‰čá‹«á‰§ĐžÎŒĐŸ Ő»áŒȘхէЮэĐČáˆșŐș. 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L’humanitĂ© de Wang Mei me paraissait assez mĂ©diocre. Toujours nĂ©gligente dans son devoir, elle ne protĂ©geait pas le travail de la maison de Dieu. J’ai donc demandĂ© Ă  SƓur Li son Ă©valuation de Wang Mei pour voir comment elle Ă©tait maintenant. Si elle Ă©tait encore irresponsable dans son devoir, elle ne conviendrait pas pour abreuver les nouveaux arrivants. SƓur Li a dit Wang Mei accorde de l’importance Ă  sa rĂ©putation et Ă  son statut, mais elle a une attitude correcte dans son devoir et je ne vois pas de problĂšmes majeurs. » Je me suis sentie soulagĂ©e d’entendre ça. Si SƓur Li avait examinĂ© la question, Wang Mei devait ĂȘtre la personne qu’il fallait pour abreuver. Quelques jours plus tard, j’avais tout arrangĂ© pour le transfert de rĂŽle et j’avais tout prĂ©parĂ© pour que Wang Mei commence ce travail. C’est alors que SƓur Li m’a dit que Wang Mei, qui s’était montrĂ©e nĂ©gligente et n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. ChoquĂ©e de l’apprendre, j’ai pensĂ© N’as-tu pas dit qu’il n’y avait pas de problĂšmes majeurs quand tu l’as Ă©valuĂ©e il y a quelques jours ? Ça ne fait que quelques jours, comment a-t-elle pu ĂȘtre renvoyĂ©e comme ça ? » Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de me plaindre Tu n’es vraiment pas fiable ! Je t’ai demandĂ© de te renseigner sur elle et tu as bĂąclĂ© le travail. Ça montre un sĂ©rieux manque de discernement de ta part. Choisir la mauvaise personne a aussi eu une incidence sur mon devoir. Cela ne va-t-il pas retarder les choses ? Comment peux-tu ĂȘtre cheffe de groupe avec ce calibre ? » Plus j’y pensais, plus j’étais en colĂšre, mais je ne comprenais pas la situation rĂ©elle et je continuais Ă  porter des jugements sur SƓur Li. Sur le coup, j’ai vraiment eu envie de lui envoyer un message pour lui demander ce qui n’allait pas chez elle, si elle avait eu le moindre discernement sur cette personne, pourquoi elle ne s’était pas bien renseignĂ©e et comment elle pouvait ĂȘtre aussi irresponsable. Mais je me suis dit Envoyer un message sous le coup de la colĂšre, ce n’est pas raisonnable. » Je ne l’ai donc pas fait, et on est passĂ© Ă  autre chose. Lors d’une rĂ©union, un frĂšre a Ă©changĂ© sur la maniĂšre dont il se mettait en colĂšre et blĂąmait les gens quand les choses n’allaient pas comme il voulait. Il a cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, rĂ©flĂ©chi et appris sur lui-mĂȘme. J’ai eu honte en l’écoutant parler, et je n’ai pu m’empĂȘcher de repenser Ă  ma propre expĂ©rience. Ce frĂšre et moi n’étions-nous pas dans la mĂȘme situation ? Lui a obtenu des rĂ©sultats parce qu’il a cherchĂ© la vĂ©ritĂ© et en a tirĂ© une leçon. Et moi, pourquoi ne tirais-je aucune leçon ? J’ai donc portĂ© cette question devant Dieu dans la priĂšre, en cherchant la leçon Ă  en tirer. Une fois, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu la parole de Dieu L’obĂ©issance aux orchestrations et aux arrangements de Dieu est la leçon la plus fondamentale d’obĂ©issance Ă  Dieu. Les orchestrations et les arrangements de Dieu, ce sont les personnes, les Ă©vĂ©nements et les choses – et les diverses situations – que Dieu fait advenir autour de toi. Alors, comment dois-tu rĂ©agir face Ă  ces situations ? Le plus fondamental, c’est l’acceptation de Dieu. Que signifie “l’acceptation de Dieu” ? Se plaindre et rĂ©sister, est-ce l’acceptation de Dieu ? Trouver des excuses et trouver des fautes, est-ce l’acceptation de Dieu ? Non. Alors, comment l’acceptation de Dieu doit-elle ĂȘtre mise en pratique ? Il s’agit d’abord de se dĂ©tendre, de chercher la vĂ©ritĂ© et de pratiquer l’obĂ©issance. Ne pas invoquer des excuses ou des raisons. Ne pas essayer de deviner ni de dĂ©terminer qui a raison et qui a tort. Et ne pas dĂ©terminer quelle erreur est la plus grave et laquelle l’est moins. Toujours analyser ces choses, est-ce une attitude d’acceptation de Dieu ? Est-ce une attitude d’obĂ©issance ? Non. Ce n’est pas l’attitude d’obĂ©issance Ă  Dieu, ce n’est pas l’attitude d’acceptation de Dieu, ce n’est pas l’attitude d’acceptation de la domination et des arrangements de Dieu. L’acceptation de Dieu, c’est un aspect des principes pour pratiquer l’obĂ©issance Ă  Dieu. [
] Ne pas analyser le bien ou le mal, ne pas rationaliser, ne pas critiquer les gens, ne pas couper les cheveux en quatre, ne pas analyser les raisons objectives, et ne pas analyser ni examiner en utilisant l’esprit humain ce sont lĂ  autant de dĂ©tails, et c’est accepter de Dieu. Et la façon de mettre cela en pratique est de commencer par obĂ©ir. MĂȘme si vous avez des notions ou si les choses ne sont pas claires pour vous, obĂ©issez, ne trouvez pas des excuses et ne vous rebellez pas ; et aprĂšs avoir obĂ©i, cherchez la vĂ©ritĂ© priez Dieu et cherchez » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Dieu dit que dans une situation donnĂ©e, que l’on comprenne ou non Sa volontĂ©, on ne doit pas aller Ă  son encontre ou essayer de se justifier. On doit avoir une attitude d’acceptation et d’obĂ©issance envers la situation oĂč Dieu nous met. Ce comportement consiste Ă  accepter les choses comme venant de Dieu. Quand il arrivait quelque chose, je le considĂ©rais toujours de l’extĂ©rieur, analysant le bien et le mal, me plaignant de ceci et de cela. Je pensais toujours que la cheffe de groupe Ă©tait nĂ©gligente et irresponsable dans son devoir, ayant une incidence sur mon travail et me faisant faire beaucoup d’efforts inutiles. Dans cette situation, mon attitude n’a pas Ă©tĂ© d’accepter les choses de Dieu, quelles qu’elles soient. Mon cƓur ne s’est pas apaisĂ© et je n’ai pas cherchĂ© la volontĂ© de Dieu ni rĂ©flĂ©chi aux leçons Ă  en tirer. Au contraire, j’ai reportĂ© mon attention sur la cheffe de groupe. Je voulais me mettre en colĂšre, la reprendre et critiquer ses dĂ©fauts. Ce n’était pas une attitude d’acceptation ou d’obĂ©issance ! Les difficultĂ©s rencontrĂ©es dans le travail Ă  ce moment-lĂ  vraiment la faute des autres ? Certaines n’avaient-elles pas quelque chose Ă  voir avec moi ? J’avais toujours rĂ©sistĂ© aux situations dans lesquelles Dieu me mettait. MĂȘme si, en fin de compte, les problĂšmes Ă©taient entiĂšrement la faute des autres, et que je n’étais pas responsable, les autres pouvaient rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, en tirer des leçons et grandir. Or moi, qu’est-ce que j’y gagnais, Ă  part une colĂšre refoulĂ©e Ă  l’intĂ©rieur de moi ? C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’ai compris que j’étais dans un mauvais Ă©tat. Je ne pouvais pas continuer Ă  analyser et Ă  enquĂȘter, Ă  me demander qui a raison et qui a tort. Je devais me calmer, chercher la vĂ©ritĂ© et en tirer une leçon. Au cours de ma rĂ©flexion, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. Si tu ne dĂ©pends pas de Dieu, que tu ne te tournes pas vers Dieu quand tu accomplis ton devoir et que tu fais simplement ce que tu veux, alors tu auras beau ĂȘtre intelligent, il y aura toujours des moments oĂč tu Ă©choueras. Les gens qui sont volontaires sont susceptibles de suivre leurs propres idĂ©es, alors ont-ils un cƓur qui craint Dieu ? Les gens qui sont trop volontaires ont oubliĂ© Dieu, et ils ont oubliĂ© l’obĂ©issance Ă  Dieu ; ce n’est que lorsque des choses arrivent, lorsque ces gens se sont heurtĂ©s Ă  un mur ou n’ont rien accompli, qu’il leur vient Ă  l’esprit qu’ils n’ont pas obĂ©i Ă  Dieu et ne L’ont pas priĂ©. De quoi s’agit-il ? Ils n’ont pas Dieu dans leur cƓur. Leurs actions indiquent que Dieu est absent de leur cƓur, que tout vient d’eux-mĂȘmes. Et donc, que tu fasses du travail dans l’Église, que tu accomplisses un devoir, que tu t’occupes de certaines affaires extĂ©rieures ou que tu traites des affaires dans ta vie personnelle, il faut qu’il y ait des principes dans ton cƓur, il faut qu’il y ait un Ă©tat spirituel. Quel Ă©tat ? “Quoi qu’il en soit, avant que quelque chose ne m’arrive, je dois prier, je dois obĂ©ir Ă  Dieu, je dois obĂ©ir Ă  Sa domination, tout est arrangĂ© par Dieu et quand quelque chose arrive, je dois chercher la volontĂ© de Dieu, je dois avoir cet Ă©tat d’esprit, je ne dois pas faire mes propres plans.” AprĂšs avoir vĂ©cu ainsi pendant un certain temps, les gens verront la domination de Dieu dans de nombreuses choses. Si tu as toujours tes propres plans, tes propres considĂ©rations, tes propres souhaits, tes propres motifs Ă©goĂŻstes et tes propres dĂ©sirs, alors ton cƓur s’éloignera involontairement de Dieu, tu seras aveugle Ă  la façon dont Dieu agit et la plupart du temps, Dieu te sera cachĂ©. N’aimes-tu pas faire les choses selon tes propres idĂ©es ? Ne fais-tu pas tes propres plans ? Tu as un esprit, tu es Ă©duquĂ©, bien informĂ©, tu as la capacitĂ© et la mĂ©thodologie pour faire les choses, tu peux les faire par toi-mĂȘme, tu es bon, tu n’as pas besoin de Dieu, et donc Dieu te dit “Vas donc faire les choses par toi-mĂȘme, et prends la responsabilitĂ© de savoir si ça se passe bien ou pas, Je m’en fiche.” Dieu ne te prĂȘte aucune attention. Quand les gens suivent leur propre volontĂ© de cette maniĂšre dans leur foi en Dieu et croient ce qu’ils veulent, quelle est la consĂ©quence ? Ils ne peuvent jamais faire l’expĂ©rience de la domination de Dieu, ils ne peuvent jamais voir la main de Dieu, ils ne peuvent jamais ressentir l’éclairage et l’illumination du Saint-Esprit, ils ne peuvent pas ressentir la direction de Dieu. Et que se passera-t-il avec le temps ? Leurs cƓurs s’éloigneront de plus en plus de Dieu, et il y aura des rĂ©percussions. Quelles rĂ©percussions ? Ils douteront de Dieu et Le renieront. Il ne s’agit pas seulement de douter de Dieu et de Le renier quand Dieu n’a pas de place dans le cƓur des gens et qu’ils font ce qu’ils veulent sur le long terme, une habitude s’installe quand quelque chose leur arrivera, la premiĂšre chose qu’ils feront sera de rĂ©flĂ©chir Ă  leur propre solution, Ă  leurs propres objectifs, Ă  leurs propres motivations et Ă  leurs propres projets. Ils se demanderont d’abord si cela leur est bĂ©nĂ©fique si c’est le cas, ils le feront, et si ce n’est pas le cas, ils ne le feront pas ; cela deviendra leur habitude d’aller directement suivre cette voie. Et comment Dieu traitera-t-Il de telles personnes si elles continuent Ă  agir ainsi, sans se repentir ? Dieu ne leur prĂȘtera aucune attention et les mettra de cĂŽtĂ© » Les principes de la pratique pour la soumission Ă  Dieu », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi aux paroles de Dieu, j’ai vu plus clairement mon propre Ă©tat. D’aprĂšs la parole de Dieu, les gens particuliĂšrement tĂȘtus commencent souvent par planifier et Ă©tablir des rĂšgles, calculant ce qu’ils vont faire et comment. Ils Ă©laborent et finalisent d’abord un plan avant de l’exĂ©cuter en utilisant les moyens et les mĂ©thodes qu’ils ont choisis, tout en exigeant des autres qu’ils suivent la mĂȘme mĂ©thode qu’eux. On dirait qu’ils font leur devoir, protĂšgent le travail de l’Église et s’assurent que leur travail donne de bons rĂ©sultats. Mais quand ils font les choses ainsi, leur propre volontĂ© et leurs rĂšgles prennent trop de place. Ils ne prient pas ou ne cherchent pas assez Dieu, une attitude d’obĂ©issance leur fait dĂ©faut et ils ne prennent pas soin de suivre le Saint-Esprit qui les guide. Ils font tout selon leurs propres dĂ©sirs et voudraient que les choses Ă©voluent comme ils le souhaitent. Dieu dit que leur propre dĂ©sir est trop fort et qu’il n’y a pas de place pour Lui dans leur cƓur. Il dĂ©teste et ignore ce genre de personnes. RĂ©flĂ©chir Ă  mon comportement m’a montrĂ© que j’avais Ă©tĂ© trop tĂȘtue dans mes devoirs et qu’en toute circonstance, dĂšs que ma dĂ©cision Ă©tait prise, rien ne pouvait me faire changer d’avis. J’obligeais mĂȘme les autres Ă  se plier Ă  mes exigences, et s’ils ne le faisaient pas, je pensais qu’ils n’étaient pas loyaux dans leur devoir et ne protĂ©geaient pas le travail de l’Église. C’est ce qui s’était passĂ© avec l’évaluation de la personne chargĂ©e de l’abreuvement. Ayant entendu dire qu’il n’y avait pas de problĂšmes avec Wang Mei, j’ai planifiĂ© un moment pour qu’elle vienne commencer ce travail. La cheffe de groupe m’a alors dit que Wang Mei avait Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir, semant la confusion dans mes plans. J’avais envie de m’énerver. Mon cƓur Ă©tait rempli de plaintes. J’ai jugĂ© que la cheffe de groupe manquait de calibre et de discernement, qu’elle Ă©tait irresponsable. J’ai Ă©tĂ© prĂ©somptueuse, arrogante et irrationnelle ! MĂȘme si ce que je planifie et dĂ©cide est correct et que ça ne viole pas les principes de la maison de Dieu, les choses ne se passent pas toujours comme je veux et n’ont pas toujours l’effet escomptĂ©. Je fais des plans et des arrangements, c’est mon devoir, et c’est ainsi que je dois coopĂ©rer, mais je ne dois pas prĂ©destiner le rĂ©sultat final. Je dois faire ce que je peux, puis me soumettre Ă  la volontĂ© de Dieu. Quant Ă  savoir si une affaire peut ĂȘtre menĂ©e Ă  bien au bout du compte, quelles variables entrent en jeu et comment elle Ă©volue, je dois suivre le Saint-Esprit qui me guide et me soumettre Ă  la rĂšgle de Dieu. C’est le sens de la raison que je devrais avoir. Ce que je faisais relevait entiĂšrement de ma propre volontĂ©, je ne connaissais pas la souverainetĂ© de Dieu et il n’y avait pas de place pour Dieu dans mon cƓur. Comment pouvais-je ĂȘtre illuminĂ©e et guidĂ©e par Dieu en accomplissant mon devoir de cette façon ? Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu qui m’a donnĂ© un aperçu du tempĂ©rament corrompu qui se cache derriĂšre ma colĂšre. Dieu dit Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vĂ©ritĂ©, alors tu sauras pratiquer la vĂ©ritĂ© et obĂ©ir Ă  Dieu et tu t’engageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vĂ©ritĂ©. Si le chemin que tu empruntes est le bon et qu’il est conforme Ă  la volontĂ© de Dieu, alors l’Ɠuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vĂ©ritĂ©, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempĂ©rament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas t’opposer Ă  Dieu ne fait aucune diffĂ©rence, tu ne peux pas t’en empĂȘcher, c’est incontrĂŽlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprĂšs ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et vaniteuse. Ton arrogance et ta vanitĂ© te feraient mĂ©priser Dieu et te Le feraient voir comme n’ayant pas d’importance ; elles feraient que tu t’exaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mĂ©priser les autres, elles ne laisseraient dans ton cƓur que toi-mĂȘme ; ton arrogance et ta vanitĂ© te priveraient de la place de Dieu dans ton cƓur et elles finiraient par t’amener Ă  prendre la place de Dieu et Ă  exiger que les gens se soumettent Ă  toi, et elles te feraient vĂ©nĂ©rer tes propres pensĂ©es, idĂ©es tes notions comme la vĂ©ritĂ©. Tant de mal est perpĂ©trĂ© par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et vaniteuse ! » Ce n’est qu’en cherchant la vĂ©ritĂ© qu’on peut rĂ©aliser un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. En mĂ©ditant les paroles de Dieu, j’ai acquis une certaine comprĂ©hension de ma nature arrogante et vaniteuse. Il s’avĂšre que je n’agissais pas seulement selon mes propres dĂ©sirs, mais qu’un tempĂ©rament arrogant se cachait derriĂšre tout ça. En repensant Ă  ce problĂšme survenu au travail, je n’en ai pas compris le contexte et je n’ai pas demandĂ© si la cheffe de groupe avait des difficultĂ©s. Je me suis contentĂ©e de me plaindre et de la juger sans discernement. En la mĂ©prisant et en la jugeant, je la rabaissais pour me mettre en valeur, me mettant sur un piĂ©destal et pensant ĂȘtre meilleure que les autres, comme si j’avais une comprĂ©hension spĂ©ciale de la vĂ©ritĂ© que les autres n’avaient pas, comme si j’étais la seule Ă  ĂȘtre consciencieuse et que tous les autres Ă©taient nĂ©gligents, comme si j’étais lucide sur tout et que les autres Ă©taient aveugles. Je croyais ĂȘtre maĂźtresse de la vĂ©ritĂ© alors que les autres en Ă©taient les serviteurs. Je rappelais aux autres de rĂ©flĂ©chir Ă  leurs actions, de se connaĂźtre et d’en tirer des leçons, comme si moi, je n’étais pas corrompue par Satan et que je n’avais pas besoin de rĂ©flexion ni d’introspection. À mes yeux, les autres Ă©taient incompĂ©tents et insupportables et moi, j’étais la meilleure. Donc quand un problĂšme survenait dans le devoir de quelqu’un, je me disais toujours Tu appelles ça faire ton devoir ? Es-tu seulement capable de faire ton devoir ? Tu n’es qu’un Ă©lĂ©ment perturbateur », et je le traitais de ceci et de cela. Je ne pensais qu’à blĂąmer et Ă  rĂ©primander les autres. En fait, j’avais moi-mĂȘme commis un grand nombre de ces erreurs en remplissant mes devoirs, j’étais tombĂ©e dans les mĂȘmes Ă©cueils, alors Ă©tais-je vraiment meilleure qu’eux ? On a tous des fois oĂč on n’arrive pas Ă  percer Ă  jour une personne ou une situation, et on a inĂ©vitablement des lacunes et des manquements en faisant son devoir. Tant que les problĂšmes et les dĂ©viations sont dĂ©tectĂ©s Ă  temps et qu’ils sont continuellement revus et corrigĂ©s, il ne s’agit que d’un processus de croissance. En fait, je commets souvent des erreurs dans mon devoir, comme dans l’incident avec Wang Mei. Je savais avec clairvoyance que le comportement de cette personne avait Ă©tĂ© mauvais dans le passĂ©, mais quand SƓur Li a dit qu’il n’y avait pas eu de problĂšmes avec son comportement rĂ©cemment, j’ai renoncĂ© Ă  la clairvoyance. Je suis partie du principe que SƓur Li avait Ă©valuĂ© la situation et qu’il n’y avait pas de problĂšme. Au bout du compte, il y en avait bien un, et il est clair que j’avais ma part de responsabilitĂ©, mais j’ai rejetĂ© la faute sur SƓur Li en la montrant du doigt, en la jugeant et en la critiquant. Quelle arrogance de ma part et quel manque total d’humanitĂ© ! Faire son devoir de cette façon non seulement n’aide pas les autres ou ne les Ă©difie pas, mais risque de les restreindre et de les rendre nĂ©gatifs. Face Ă  un problĂšme, je ne considĂ©rais pas les choses ou les gens conformĂ©ment Ă  la parole de Dieu. Je me plaignais, j’étais impulsive et je rĂ©primandais les gens, c’est tout. Je pensais mĂȘme que c’était ça ĂȘtre responsable, que c’était un acte de justice et que je protĂ©geais le travail de l’Église. Cette façon de voir Ă©tait absolument absurde ! Plus tard, j’ai lu un passage de la parole de Dieu qui a illuminĂ© mon cƓur. Dieu Tout-Puissant dit Une fois qu’un homme a un statut, il a souvent du mal Ă  contrĂŽler son humeur, et donc il aura le plaisir de saisir les occasions pour exprimer son mĂ©contentement et donner libre cours Ă  ses Ă©motions ; il se mettra souvent en colĂšre sans raison apparente afin de rĂ©vĂ©ler sa capacitĂ© et de faire savoir aux autres que son statut et son identitĂ© sont diffĂ©rents de ceux des gens ordinaires. Bien sĂ»r, les personnes corrompues sans aucun statut perdent souvent le contrĂŽle aussi. Leur colĂšre est souvent causĂ©e par des dommages Ă  leurs intĂ©rĂȘts privĂ©s. Afin de protĂ©ger leur propre statut et leur propre dignitĂ©, elles se dĂ©fouleront souvent de leurs Ă©motions et rĂ©vĂ©leront leur nature arrogante. L’homme Ă©clate de colĂšre et laisse libre cours Ă  ses Ă©motions pour dĂ©fendre et maintenir l’existence du pĂ©chĂ©, et ces actions sont les moyens par lesquels l’homme exprime son insatisfaction ; elles regorgent d’impuretĂ©s, de machinations et d’intrigues, de la corruption et de la mĂ©chancetĂ© de l’homme et, plus que tout autre chose, elles regorgent des ambitions et des dĂ©sirs effrĂ©nĂ©s de l’homme. Quand la justice entre en collision avec la mĂ©chancetĂ©, la colĂšre de l’homme n’éclate pas pour dĂ©fendre l’existence de la justice ou pour la maintenir ; au contraire, lorsque les forces de la justice sont menacĂ©es, persĂ©cutĂ©es et attaquĂ©es, l’attitude de l’homme est d’ignorer, de fuir ou de se dĂ©rober. Toutefois, face aux forces du mal, l’attitude de l’homme est celle du service, de la soumission et de l’accommodation. Par consĂ©quent, le dĂ©foulement de l’homme est une Ă©vasion pour les forces du mal, une expression de la conduite perverse, effrĂ©nĂ©e et imparable de l’homme charnel. Quand Dieu manifestera Sa colĂšre, cependant, toutes les forces du mal seront arrĂȘtĂ©es, tous les pĂ©chĂ©s qui causent du tort Ă  l’homme seront rĂ©frĂ©nĂ©s, toutes les forces hostiles qui obstruent l’Ɠuvre de Dieu seront dĂ©voilĂ©es, sĂ©parĂ©es et maudites, tandis que tous les complices de Satan qui s’opposent Ă  Dieu seront punis et extirpĂ©s. Par contre, l’Ɠuvre de Dieu se dĂ©roulera sans aucun obstacle, le plan de gestion de Dieu continuera Ă  se dĂ©velopper Ă©tape par Ă©tape comme prĂ©vu et les Ă©lus de Dieu seront libres de la perturbation et de la tromperie de Satan, tandis que ceux qui suivent Dieu jouiront de la direction et de l’approvisionnement de Dieu dans un environnement tranquille et paisible. La colĂšre de Dieu est une sauvegarde empĂȘchant toutes les forces du mal de se multiplier et de se dĂ©chaĂźner, et elle est aussi une sauvegarde qui protĂšge l’existence et la propagation de toutes choses qui sont justes et positives et les garde Ă©ternellement de la suppression et de la subversion » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique II », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. AprĂšs cette lecture, j’ai compris que pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts personnels et satisfaire leurs dĂ©sirs et leurs ambitions, les gens s’énervent sans rĂ©flĂ©chir Ă  la raison, au principe ou Ă  l’objet de leur colĂšre. Ce sont lĂ  des formes d’impulsivitĂ© et l’expression d’un tempĂ©rament corrompu, et elles dĂ©goĂ»tent Dieu. Mais si on peut voir les choses et les gens conformĂ©ment Ă  la parole de Dieu, aimer ce que Dieu aime, haĂŻr ce que Dieu hait, dĂ©tester ces malfaiteurs perturbateurs et ces antĂ©christs pour protĂ©ger le travail de l’Église et les intĂ©rĂȘts des Ă©lus de Dieu, alors c’est l’expression d’une humanitĂ© normale et la manifestation d’un sens de la justice. MĂȘme si vous parlez parfois un peu trop fermement ou sĂ©vĂšrement, tant que tout ce que vous dites repose sur la parole de Dieu, ne contredit pas les faits, ne donne pas libre cours Ă  la rancune personnelle et n’est pas embrouillĂ© par vos propres motivations, alors les gens seront convaincus et verront plus clairement l’essence des problĂšmes, et vos commentaires auront des rĂ©sultats positifs. Ce type de colĂšre est une chose positive et n’est pas l’expression d’un tempĂ©rament corrompu. Se fĂącher en raison d’un tempĂ©rament corrompu, c’est diffĂ©rent. La colĂšre est alors contaminĂ©e par des motivations personnelles et des objectifs inavouables. Certains se fĂąchent pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut, d’autres pour qu’on les Ă©coute et qu’on agisse selon leurs souhaits, d’autres encore parce que leurs intĂ©rĂȘts personnels ont Ă©tĂ© lĂ©sĂ©s. Tout ça, ce sont des formes d’impulsivitĂ© et de corruption. Quand j’ai constatĂ© des problĂšmes dans les devoirs des autres qui retardaient la progression, ma colĂšre semblait ainsi motivĂ©e par le dĂ©sir de protĂ©ger le travail de l’Église, alors qu’en fait, j’étais en colĂšre parce que les gens ne rĂ©pondaient pas Ă  mes exigences et que je devais me donner beaucoup de mal inutilement. J’en profitais pour donner libre cours Ă  mon sentiment d’insatisfaction, jugeant et rabaissant intĂ©rieurement les gens. C’était clairement de l’impulsivitĂ© qui se manifestait. J’ai souvent rencontrĂ© ce genre de situation dans l’exercice normal de mes devoirs. Avant, ma nature prenait le dessus, mais je n’y prĂȘtais pas beaucoup d’attention. Alors, comment agir si, Ă  l’avenir, je rencontre cette situation ? Pendant mes dĂ©votions, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. Quand il s’agit de travail ou de dĂ©brouille, Ă  tout le moins n’enfreins pas les normes de conscience et de bon sens. Implique-toi avec les gens et interagis avec eux – et gĂšre les choses – selon le sens d’une humanitĂ© normale. Naturellement, le mieux est de pratiquer selon les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu, c’est ce qui satisfait Dieu. Quels sont donc les principes de vĂ©ritĂ© exigĂ©s par Dieu ? Que les gens comprennent la faiblesse et la nĂ©gativitĂ© des autres lorsqu’ils sont faibles et nĂ©gatifs, que les gens soient conscients de la douleur et des difficultĂ©s des autres, puis s’enquiĂšrent de ces choses, offrent aide et soutien et lisent les paroles de Dieu pour les aider rĂ©soudre leurs problĂšmes, afin qu’ils ne soient plus faibles et qu’ils soient amenĂ©s devant Dieu. Est-ce une façon de pratiquer qui est conforme aux principes ? Pratiquer ainsi est conforme aux principes. Naturellement, les relations de ce type sont Ă©galement conformes aux principes. Lorsque des personnes sont dĂ©libĂ©rĂ©ment indiscrĂštes et perturbatrices, ou dĂ©libĂ©rĂ©ment nĂ©gligentes et superficielles dans l’accomplissement de leurs devoirs, si tu vois cela, que tu es capable de gĂ©rer les choses selon les principes et que tu peux leur signaler ces choses, les rĂ©primander et les aider, alors c’est conforme aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si tu fermes les yeux ou que tu es tolĂ©rant envers eux, que tu les couvres, et que tu vas mĂȘme jusqu’à leur dire des choses gentilles, les fĂ©liciter et les applaudir, en les manipulant avec des paroles fausses, alors de tels comportements, de telles façons d’interagir avec les gens, de traiter les problĂšmes et de gĂ©rer les problĂšmes, sont clairement en contradiction avec les principes de la vĂ©ritĂ© et n’ont aucun fondement dans les paroles de Dieu auquel cas ces comportements et ces façons d’interagir avec les gens et de gĂ©rer les problĂšmes sont clairement illĂ©gitimes » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 4, Les responsabilitĂ©s des dirigeants et des ouvriers. AprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai compris que la façon d’agir la meilleure et la plus rationnelle quand surviennent des problĂšmes dans les devoirs des autres, c’est d’échanger sur la vĂ©ritĂ©, de les aider et de les soutenir. Si les autres retardent le travail Ă  cause d’un oubli momentanĂ© ou parce qu’ils n’ont pas saisi les principes, il faut patiemment Ă©changer avec eux sur la vĂ©ritĂ©, tout en leur expliquant clairement les principes pour leur faire prendre conscience des problĂšmes qui existent et leur montrer un chemin. Certains sont toujours nĂ©gligents dans leur devoir. Ils ne portent pas de fardeaux, des problĂšmes surgissent sans arrĂȘt et ce qui pourrait ĂȘtre bien fait ne l’est pas. Les mĂȘmes problĂšmes reviennent sans cesse, affectant le travail et causant mĂȘme parfois de graves dommages. On peut alors traiter ce genre d’individu, l’émonder ou le mettre en garde. S’il ne change pas malgrĂ© plusieurs remontrances, il peut ĂȘtre rĂ©affectĂ© ou renvoyĂ©. Mais, quelle que soit la situation, il faut toujours considĂ©rer et traiter les questions selon la parole de Dieu et les principes de la vĂ©ritĂ©, et non agir sous l’emprise de l’impulsivitĂ© ou d’un tempĂ©rament corrompu. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces choses-lĂ , mon cƓur s’est Ă©clairci et j’ai trouvĂ© un chemin de pratique. Sur ce, je suis allĂ©e trouver SƓur Li pour comprendre ce qui s’était passĂ© avec Wang Mei. Ce n’est qu’à ce moment-lĂ  que j’ai appris que Wang Mei avait auparavant rempli des devoirs dans d’autres Églises et qu’elle n’avait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e que rĂ©cemment dans la nĂŽtre. SƓur Li ne la connaissait donc pas encore trĂšs bien. En se renseignant auprĂšs d’autres Églises, elle a dĂ©couvert plus tard que Wang Mei avait toujours Ă©tĂ© nĂ©gligente et sournoise. Ce qu’elle disait avait l’air bien en apparence, mais elle ne joignait pas le geste Ă  la parole, elle manquait d’humanitĂ© et aimait contraindre les gens, si bien qu’elle avait finalement Ă©tĂ© dĂ©mise de son devoir. J’ai eu tellement honte quand j’ai dĂ©couvert cette histoire. SƓur Li n’avait pas Ă©tĂ© irresponsable, contrairement Ă  ce que j’avais cru. C’est juste que des enquĂȘtes avaient dĂ» ĂȘtre menĂ©es dans d’autres Églises, que des erreurs s’étaient produites en cours de route et que la vĂ©rification n’avait pas Ă©tĂ© faite clairement. J’ai arrĂȘtĂ© de critiquer SƓur Li Ă  ce sujet et je lui ai simplement rappelĂ© de profiter de cette affaire pour revoir ces erreurs et Ă©viter que ce genre de problĂšme ne se reproduise. Cette fois-ci, quand j’ai traitĂ© le problĂšme, cela ne dĂ©coulait pas de la colĂšre ou de ma propre volontĂ©, mais simplement de la recherche des principes de la vĂ©ritĂ©. En pratiquant ainsi, mon cƓur s’est apaisĂ©. Cette expĂ©rience m’a permis de comprendre qu’il ne faut pas se fier Ă  ses notions personnelles, Ă  son imagination ou Ă  sa colĂšre, que ce soit en faisant son devoir ou en traitant les autres. Tout doit reposer sur les paroles de Dieu. Cherchez les principes de la vĂ©ritĂ© dans les paroles de Dieu, et pratiquez et accomplissez vos devoirs conformĂ©ment Ă  Ses exigences. Ainsi seulement pourrez-vous vĂ©ritablement poursuivre la vĂ©ritĂ© et le chemin pour entrer dans la vie. Table des matiĂšres Comment conjuguer le verbe rĂ©flĂ©chir au passĂ© composĂ© ? Comment il rĂ©flĂ©chit ? Quel groupe le verbe rĂ©flĂ©chir ? Comment rĂ©flĂ©chir sur soi ? Comment rĂ©flĂ©chir sur sa vie ? Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens rĂ©flĂ©chi ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Comment agir sans rĂ©flĂ©chir ? Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi ? Quels sont les verbes pronominaux rĂ©flĂ©chis ? Comment rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Est-il difficile de penser par soi-mĂȘme ? Qu'est-ce que rĂ©flĂ©chir en philosophie ? Pourquoi il est important de rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Est-il possible d'arrĂȘter de penser ? Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal dans une phrase ? Comment conjuguer le verbe rĂ©flĂ©chir au passĂ© composĂ© ? PassĂ© composĂ©j'ai as a avons avez ont rĂ©flĂ©chi. Comment il rĂ©flĂ©chit ? Cela pourrait ĂȘtre plus facile Ă  dire qu'Ă  faire, mais un des facteurs les plus importants Ă  prendre en compte pour rĂ©flĂ©chir est le calme et si possible, la solitude. DĂ©tendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extĂ©rieures. Quel groupe le verbe rĂ©flĂ©chir ? verbe transitif du 2e groupe. Comment rĂ©flĂ©chir sur soi ? RĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme, c'est donc d'abord avoir le courage de se poser des questions Ă  chaque fois qu'on a un doute, mĂȘme si cela est parfois difficile, et essayer de se forger une opinion personnelle en s'appuyant sur des arguments sĂ©rieux, auxquels on a rĂ©flĂ©chi, et sur des valeurs auxquelles on tient. Comment rĂ©flĂ©chir sur sa vie ? Recherchez par vous mĂȘme comment le monde tourne dans sa globalitĂ©, cherchez par vous-mĂȘme le potentiel de l'ĂȘtre humain, cherchez par vous-mĂȘme Ă  donner un sens Ă  votre vie, car oui notre existence Ă  un sens, il faut pour cela retrouver l'essence mĂȘme de notre nature. Qu'est-ce qu'un verbe pronominal de sens rĂ©flĂ©chi ? Un verbe pronominal est de sens rĂ©flĂ©chi quand le sujet dĂ©signe un agent exerçant une action sur lui-mĂȘme physiquement, mentalement
, ou dans son intĂ©rĂȘt. Dans ce cas, le pronom rĂ©flĂ©chi dĂ©signe l'agent lui-mĂȘme, et est en mĂȘme temps l'objet de l'action. Pourquoi rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? Penser par soi-mĂȘme, c'est s'affranchir des prĂ©jugĂ©s, c'est-Ă -dire, des pensĂ©es toutes faites. ... Penser par soi-mĂȘme c'est avoir pris du recul par rapport Ă  une idĂ©e, c'est savoir au minimum pourquoi on a cette idĂ©e en nous, pourquoi on y adhĂšre, ce qu'elle signifie profondĂ©ment. Comment agir sans rĂ©flĂ©chir ? Ne cherchez pas Ă  interprĂ©ter, soyez juste attentif Ă  ce que vous observez et ressentez, sans manipuler » de pensĂ©es Ă  ce propos, sans partir avec votre tĂȘte Ă  penser ». Laissez vos pensĂ©es un peu de cĂŽtĂ© sauf quand il faut rĂ©flĂ©chir Ă  quelque chose de prĂ©cis pour rester concentrĂ© sur vos sensations
 Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi ? Le verbe pronominal a le sens rĂ©flĂ©chi s'il marque que l'action se rĂ©flĂ©chit sur le complĂ©ment qui reprĂ©sente le sujet. Le verbe pronominal a le sens rĂ©ciproque s'il marque que l'action est faite par plusieurs ĂȘtres agissant l'un sur l'autre. Quels sont les verbes pronominaux rĂ©flĂ©chis ? Un verbe pronominal rĂ©flĂ©chi exprime une action que le sujet fait sur lui-mĂȘme Je me lave. Le verbe pronominal rĂ©ciproque exprime une action Ă  la fois accomplie et reçue par chacun des acteurs de l'action. Tous les enfants se sont regardĂ©s. Comment rĂ©flĂ©chir par soi-mĂȘme ? S'observer pour mieux se connaitre Savoir identifier ce qui nous plait et ce qui nous agace, ce qui nous motive et ce qui nous Ă©nerve. C'est se regarder d'un peu loin, d'un peu haut, oser observer nos attitudes et comportements, nos rĂ©flexes, nos limites, sans jugement, juste en prenant note. Est-il difficile de penser par soi-mĂȘme ? Commentaire. Kant, le grand philosophe, nous posait dĂ©jĂ  la question Il est difficile de penser par soi mĂȘme ». Qu'est-ce que rĂ©flĂ©chir en philosophie ? RĂ©flĂ©chir, c'est ĂȘtre attentif Ă  des idĂ©es, et c'est ainsi, en tout cas, que l'entend le langage courant toutes les fois que j'arrĂȘte une idĂ©e au passage pour l'apprĂ©cier, pour la comparer Ă  d'autres, pour l'analyser, pour la faire passer du confus au clair, je rĂ©flĂ©chis. Pourquoi il est important de rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir ? La capacitĂ© de rĂ©flĂ©chir est ce qui distingue le mieux l'homme des autres animaux. C'est cette capacitĂ© qui permet Ă  notre civilisation de se dĂ©velopper, en bien et en mal. Pourquoi mon cerveau pense tout le temps ? Pourquoi certains disent-ils qu'ils pensent trop ? Ils ont les cinq sens plus dĂ©veloppĂ©s et en alerte que la moyenne. Leur cerveau trie moins les informations pertinentes. SollicitĂ©s en permanence, ils gĂšrent beaucoup de stimulations. Est-il possible d'arrĂȘter de penser ? “En neurosciences, toutes les activitĂ©s cĂ©rĂ©brales sont des pensĂ©es. Qu'on soit en phase de sommeil, dans le coma ou Ă©veillĂ©, le cerveau est en activitĂ©, donc produit des pensĂ©es. Il peut moduler son activitĂ©, mais ne s'arrĂȘte jamais. ... Cela dit, tout dĂ©pend de ce que vous aviez en tĂȘte en utilisant le terme “penser”. Comment reconnaĂźtre un verbe pronominal dans une phrase ? Le verbe pronominal est un verbe toujours accompagnĂ© d'un pronom personnel Ă  la mĂȘme personne grammaticale que le sujet et qui se conjugue seulement avec l'auxiliaire ĂȘtre aux temps composĂ©s. Une phrase contenant un verbe pronominal renferme deux pronoms de la mĂȘme personne qui se suivent. Images 2 491 Classer par Portrait en gros plan d'un jeune homme sĂ©duisant perplexe et indĂ©cis qui a des problĂšmes de manque d'idĂ©e de pensĂ©e benzoix Un enfant malade qui dort alors qu'un parent mal Ă  l'aise est assis Ă  cĂŽtĂ© d'elle Ă  l'intĂ©rieur d'un Ă©tablissement de santĂ©. pĂšre inquiet assis Ă  cĂŽtĂ© d'une petite fille malade reposant sur le lit du patient Ă  l'intĂ©rieur de la salle de pĂ©diatrie de l'hĂŽpital. DCStudio personne malade maladie pĂ©diatre Je suis Ă  votre service sensei plan intĂ©rieur d'un jeune homme Ă©motif positif dans des verres s'inclinant tout en saluant quelqu'un dans un style asiatique avec les paumes jointes prĂšs de la poitrine souriant et debout sur fond gris cookie_studio homme lunette mode homme jeune homme Plan horizontal d'une femme bouclĂ©e hĂ©sitante et confuse qui hausse les Ă©paules et se sent incertaine porte un pull rayĂ© dĂ©contractĂ© et une veste rose se sent dĂ©concertĂ©e isolĂ©e sur fond violet espace de copie vierge wayhomestudio confus blonde femme blonde Une jeune femme hĂ©sitante aux cheveux bouclĂ©s hausse les Ă©paules avec perplexitĂ© sent le doute se sent incertain porte des lunettes de soleil et une veste rose isolĂ©e sur fond beige avec un espace vide pour la promotion wayhomestudio confus bouder blonde Portrait en gros plan d'un jeune homme bien roux dans une chemise orange Ă©lĂ©gante qui a l'air pensif tout en posant isolĂ© sur fond de studio blanc. expressions faciales humaines. concept d'Ă©motions sincĂšres. flic YuliiaKa homme homme debout jeune homme Photo en plein air d'une Ă©tudiante pensive aux cheveux bouclĂ©s qui revient de cours porte un bandeau et des vĂȘtements dĂ©contractĂ©s soignĂ©s se promĂšne Ă  l'extĂ©rieur pose sur fond urbain flou concept de personnes et de style de vie wayhomestudio femme debout pretty woman femme Image d'une infirmiĂšre en colĂšre, une femme mĂ©decin asiatique, qui a l'air agacĂ©e et dĂ©rangĂ©e, les sourcils froncĂ©s et la bouderie rĂ©flĂ©chie, debout sur fond blanc benzoix nurse femme mĂ©decin docteur Mon dieu, qu'est-ce qui t'est arrivĂ© fille montrant de l'empathie et de l'inquiĂ©tude en regardant avec pitiĂ© la bouche ouverte de la camĂ©ra et en levant les sourcils du choc tenant la main anxieuse sur les lĂšvres sur fond blanc cookie_studio anxieux blonde femme Wow ralentissez une femme intense et inquiĂšte qui respire lourdement en levant les mains en dĂ©fense et aucun geste plissant les lĂšvres alarmĂ© reculer en refusant et en essayant une personne calme agissant comme un fou sur un mur blanc cookie_studio femmes heureuses femme jeune jeune fille Plan horizontal d'une jeune femme insatisfaite qui pleure de dĂ©sespoir souffre de douleur porte une Ă©charpe sur un bras cassĂ© aprĂšs avoir visitĂ© une clinique orthopĂ©dique isolĂ©e sur fond rose concept de problĂšmes de santĂ© wayhomestudio bouder blessĂ© bras femme Une ingĂ©nieure asiatique sincĂšre, honnĂȘte et confiante dans la zone de construction faisant la promesse de prĂȘter serment aux clients qui ont l'air digne de confiance debout dans un casque de sĂ©curitĂ© disant la vĂ©ritĂ© sur fond blanc benzoix femme argent femme leader femme Plan vertical d'une femme sĂ©rieuse aux cheveux bouclĂ©s vĂȘtue de vĂȘtements de sport marron porte un karemat roulĂ© qui fait du sport regarde rĂ©guliĂšrement des poses contre un bĂątiment moderne en ville concept de mode de vie sain wayhomestudio sport sante sportif corps femme Un jeune pĂšre inquiet et inquiet qui prie pour une fille malade hospitalisĂ©e alors qu'il se trouve dans la salle mĂ©dicale. petite fille malade qui se remet d'une maladie en respirant Ă  travers un tube Ă  oxygĂšne. DCStudio pĂ©diatrie maladie personne malade Anxieuse mĂšre attentionnĂ©e visitant une petite fille malade hospitalisĂ©e alors qu'elle Ă©tait assise dans la salle d'hĂŽpital de la clinique pĂ©diatrique. un adulte inquiet et rĂ©flĂ©chi qui a l'air inquiet tout en soutenant sa fille malade dans son lit d'hĂŽpital. DCStudio personne malade maladie pĂ©diatre InfirmiĂšre mĂ©dicale de la clinique pĂ©diatrique prenant des notes sur le schĂ©ma de traitement rĂ©ussi. une jeune mĂšre gentille et attentionnĂ©e est attentive Ă  l'infirmiĂšre qui parle des risques pour la santĂ© des petites filles pendant qu'elle est en salle de convalescence. DCStudio maladie nurse pĂ©diatre Une ingĂ©nieure asiatique sincĂšre, honnĂȘte et confiante dans la zone de construction faisant la promesse de prĂȘter serment aux clients qui ont l'air digne de confiance debout dans un casque de sĂ©curitĂ© disant la vĂ©ritĂ© sur fond blanc benzoix femme argent femme leader femme Une femme d'affaires afro-amĂ©ricaine qui a l'air rĂ©flĂ©chie tout en Ă©tant au bureau il y a des gens en arriĂšre-plan Drazen Zigic femme travail femme d affaire femme professionnelle Les gens d'affaires qui regardent la prĂ©sentation d'information sur l'Ă©cran, analysent les informations des graphiques et les statistiques pour planifier la croissance et le dĂ©veloppement financiers. des collĂšgues rĂ©flĂ©chissent Ă  des idĂ©es de stratĂ©gie DCStudio gestion gens d affaire projet Un homme triste et anxieux qui regarde une petite fille malade dormir dans un lit de clinique alors qu'il est dans le service des patients d'un hĂŽpital pĂ©diatrique. sous traitement, un enfant malade sous sĂ©dation se repose pendant qu'un parent attentif prend soin d'elle. DCStudio pĂ©diatrie maladie personne malade Belle fille rĂȘveuse imaginant quelque chose qui a l'air pensif de cĂŽtĂ© sur le fond du logo regardant Ă  gauche et pensant debout sur fond blanc rappel de la mĂ©moire cookie_studio jeune fille femme jeune pretty woman Photo en extĂ©rieur d'une jeune femme rĂ©flĂ©chie aux cheveux bouclĂ©s qui Ă©coute une piste audio via un casque stĂ©rĂ©o sans fil regarde ailleurs vĂȘtue de vĂȘtements dĂ©contractĂ©s est assise dans les escaliers d'un lieu urbain pense Ă  quelque chose wayhomestudio femme mode pretty woman jeune fille Photo en extĂ©rieur d'une jeune femme bouclĂ©e rĂ©flĂ©chie qui profite du temps libre dans la rue de la ville utilise un smartphone tient des cahiers concentrĂ©s sur la distance habillĂ©e avec dĂ©sinvolture une influenceuse partage du contenu dans un blog wayhomestudio femme smartphone femme avec tĂ©lĂ©phone smartphone Une Ă©tudiante asiatique souriante qui a l'air rĂ©flĂ©chie, intriguĂ©e par quelque chose qui se tient heureux sur fond blanc cookie_studio jeune fille femme heureux femme Portrait d'une jeune fille souriante et rĂ©flĂ©chie qui a l'air heureux et qui pense Ă©couter une suggestion intĂ©ressante sur une idĂ©e sur fond blanc cookie_studio jeune fille femme heureux femme Une femme asiatique rĂ©flĂ©chie qui regarde de cĂŽtĂ© en pensant Ă  faire des suppositions en pensant ou en choisissant qch debout sur fond blanc benzoix jeune fille femme pretty woman Une femme asiatique rĂ©flĂ©chie qui regarde de cĂŽtĂ© en pensant Ă  faire des suppositions en pensant ou en choisissant qch debout sur fond blanc benzoix jeune fille femme pretty woman Une adolescente blonde rĂ©flĂ©chie qui regarde l'inquiĂ©tude en gardant la main sur le menton en pensant Ă  quelque chose sur fond bleu l'expression du visage garetsvisual femme mode femme blonde blonde InfirmiĂšre de la clinique pĂ©diatrique de soins de santĂ© prenant des notes sur la rĂ©ussite de la rĂ©cupĂ©ration dans la chambre du patient. la mĂšre est attentive Ă  l'infirmiĂšre qui parle des risques pour la santĂ© des petites filles pendant qu'elle est en salle de convalescence. DCStudio maladie nurse pĂ©diatre InfirmiĂšre de la clinique pĂ©diatrique de soins de santĂ© prenant des notes sur la rĂ©ussite de la rĂ©cupĂ©ration dans la chambre du patient. la mĂšre est attentive Ă  l'infirmiĂšre qui parle des risques pour la santĂ© des petites filles pendant qu'elle est en salle de convalescence. DCStudio maladie nurse pĂ©diatrie Une femme asiatique rĂ©flĂ©chie qui regarde de cĂŽtĂ© en pensant Ă  faire des suppositions en pensant ou en choisissant qch debout sur fond blanc benzoix jeune fille femme pretty woman Une femme asiatique rĂ©flĂ©chie qui regarde de cĂŽtĂ© en pensant Ă  faire des suppositions en pensant ou en choisissant qch debout sur fond blanc benzoix jeune fille femme pretty woman Gros plan jolie fille rousse essayant d'entendre ce qui se dit sur fond colorĂ© ne pas entendre l'expression garetsvisual jeune fille femme mode femme face Une fille anxieuse mord le doigt qui a l'air effrayĂ©e et inquiĂšte Ă  cĂŽtĂ© de trop rĂ©flĂ©chir debout sur fond blanc cookie_studio blonde femme blonde jeune fille Un gars moderne et Ă©lĂ©gant qui pense Ă  choisir ou Ă  prendre une dĂ©cision rĂ©flĂ©chie debout sur fond blanc cookie_studio mode homme jeune homme homme Portrait d'une femme souriante confiante, d'un visage souriant et d'une fille crĂ©ative rĂ©flĂ©chie et dĂ©terminĂ©e qui a un plan, debout sur fond blanc. copier l'espace cookie_studio jeune fille femme femmes heureuses Une jeune femme europĂ©enne aux cheveux bouclĂ©s rĂ©flĂ©chit Ă  quelque chose qui garde la main prĂšs de la bouche considĂšre qu'elle porte des lunettes et un col roulĂ© dĂ©contractĂ© isolĂ© sur fond rose copiez l'espace pour votre contenu promotionnel wayhomestudio confus femme pense jeune fille Belle adolescente aux cheveux longs rĂ©flĂ©chit Ă  quelque chose qui garde le doigt sur les joues Ă©tant profondĂ©ment dans ses pensĂ©es porte un pull chaud et un chapeau isolĂ©s sur fond de studio rose. laisse-moi penser wayhomestudio femme pense rĂ©flĂ©chir femme mode Une femme asiatique malheureuse a une expression triste et déçue du visage qui dĂ©tourne le regard a quelques problĂšmes qui rĂ©flĂ©chit Ă  la façon de rĂ©soudre les problĂšmes porte un masque de sommeil et un pull doux isolĂ© sur un espace vide de fond rose. wayhomestudio femme jeune fille pretty woman Plan vertical d'un modĂšle de fitness rĂ©flĂ©chi vĂȘtu d'un survĂȘtement tient un tĂ©lĂ©phone portable qui va avoir des poses de pilates en plein air avec un tapis roulĂ© contre un bĂątiment de la ville moderne concentrĂ© sĂ©rieusement wayhomestudio sport sante sportif smartphone Photo verticale d'une femme pensive aux cheveux bouclĂ©s concentrĂ©e au-dessus des rĂȘves Ă©veillĂ©s sur quelque chose qui se pose Ă  l'extĂ©rieur dans un lieu urbain porte une veste et un jean Ă©coute de la musique via des Ă©couteurs. mode de vie passe-temps des gens. wayhomestudio montre femme femme mode pretty woman Portrait d'une jolie fille africaine qui mange de la glace au coucher du soleil matteoguedia PensĂ©e confuse et se demandant une femme qui a l'air perplexe, incertaine et incertaine de la dĂ©cision de choix et de l'idĂ©e Ă  l'esprit sur fond rouge de studio YuriArcursPeopleimages confus femme ĂągĂ©e personnes ĂągĂ©es Des mĂ©decins qui parlent, des professionnels de la santĂ© et des travailleurs de la santĂ© qui planifient ou rĂ©flĂ©chissent Ă  un traitement mĂ©dical hospitalier divers groupes de collĂšgues de la clinique de premiĂšre ligne discutent d'une nouvelle percĂ©e dans le virus YuriArcursPeopleimages professionnels de santĂ© Ă©quipe mĂ©dicale docteur africain Penser et rechercher une dame ou une grand-mĂšre plus ĂągĂ©e et mature qui dĂ©cide de la meilleure retraite anticipĂ©e ou d'une maison de retraite un grand-parent ĂągĂ© ou une femme ĂągĂ©e devant rĂ©flĂ©chir, se rappeler et visualiser une idĂ©e YuriArcursPeopleimages femme ĂągĂ©e femme mature personne ĂągĂ©e Parler de planification ou rencontrer un groupe de collĂšgues qui rĂ©flĂ©chissent Ă  des idĂ©es pour discuter de stratĂ©gie sur la technologie et la paperasserie rire souriant et heureux Ă©quipe de marketing crĂ©ative diversifiĂ©e dans la salle de rĂ©union du bureau YuriArcursPeopleimages professionnel collĂšgue heureux travail Qui se sent triste et pensif en regardant l'espace de copie asier_relampagoestudio mode homme homme jeune homme Qui se sent triste et pensif en regardant l'espace de copie asier_relampagoestudio jeune fille femme femme jeune Qui se sent triste et pensif en regardant l'espace de copie asier_relampagoestudio femme blonde blonde jeune fille Une investisseuse rĂ©flĂ©chie qui boit du cafĂ© et lit des informations sur son ordinateur portable sodawhiskey comptabilitĂ© conseiller financier financier Page suivante Page de 50 Par Li Jin, Chine En 2014, quand j’étais une dirigeante d’Église, j’étais assez efficace dans mon devoir et j’avais de l’expĂ©rience, alors je croyais comprendre la vĂ©ritĂ©. Quand des problĂšmes surgissaient, j’agissais souvent arbitrairement, sans chercher les principes de la vĂ©ritĂ©. À un moment, on m’a signalĂ© que les dirigeants de deux Églises avaient une mauvaise humanitĂ©, qu’ils opprimaient et Ă©touffaient les autres. J’ai Ă©coutĂ© les rapports, je les ai crus et, sans examiner les faits, j’ai renvoyĂ© l’un des dirigeants, qui Ă©tait capable de travail concret, et j’ai failli expulser l’un des autres dirigeants par erreur, ce qui a gravement affectĂ© le travail des deux Églises. Mes supĂ©rieurs m’ont traitĂ©e sĂ©vĂšrement parce que je faisais mon devoir arbitrairement, n’agissais pas en accord avec les principes de la vĂ©ritĂ© et renvoyais des gens comme bon me semblait. Mais je me connaissais encore mal, je me suis dĂ©fendue et justifiĂ©e, et je me suis dit que tout le monde commettait des erreurs dans son devoir. Parce que je n’acceptais pas la vĂ©ritĂ©, que j’agissais souvent Ă  l’encontre des principes, de maniĂšre arbitraire, et que mon travail n’avait pas d’effet concret, mes supĂ©rieurs m’ont renvoyĂ©e. AprĂšs mon renvoi, au lieu d’arranger un autre devoir pour moi, ils m’ont dit de m’adonner Ă  une rĂ©flexion spirituelle chez moi. À ce moment-lĂ , je n’ai pas compris la volontĂ© de Dieu et j’ai Ă©tĂ© trĂšs nĂ©gative. Je me disais que je croyais en Dieu depuis des annĂ©es, que j’avais renoncĂ© Ă  mon mariage, quittĂ© mon emploi et qu’il m’arrivait souvent de travailler alors que j’étais malade. MĂȘme si je n’avais gagnĂ© aucun mĂ©rite, j’avais au moins travaillĂ© dur. Être renvoyĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un coup dur, mais on m’annonçait en plus que je ne pouvais accomplir aucun devoir. Comme je n’avais commis que deux erreurs, je trouvais qu’il Ă©tait trop sĂ©vĂšre de me traiter de cette maniĂšre, surtout quand je voyais des gens qui n’étaient pas dirigeants ni ouvriers poursuivre leur devoir, alors que moi, qui avais Ă©tĂ© dirigeante, n’en avais plus. Je me disais Je ne peux pas ĂȘtre dirigeante, apparemment. Il y a des critĂšres Ă©levĂ©s et des exigences strictes pour ĂȘtre dirigeant. Il suffit d’ĂȘtre un peu nĂ©gligent pour que notre vie de foi en Dieu s’achĂšve. Comment peut-on avoir une fin et une destination si on ne peut mĂȘme pas ĂȘtre un exĂ©cutant ? Quoi qu’il arrive, je ne serai plus une dirigeante Ă  l’avenir. » AprĂšs ça, pendant des annĂ©es, j’ai fait du travail textuel dans l’Église. MĂȘme si j’ai eu des occasions de me prĂ©senter Ă  des Ă©lections de dirigeants ou d’ouvriers, j’ai toujours Ă©vitĂ© d’y prendre part. Je n’avais pas conscience de mon problĂšme, Ă  ce moment-lĂ . Je pensais qu’il Ă©tait sage de faire ça. En mai 2020, mes frĂšres et sƓurs m’ont encouragĂ©e Ă  me prĂ©senter Ă  une Ă©lection. J’ai Ă©tĂ© en proie Ă  un conflit intĂ©rieur. Mon travail me convenait et je n’avais pas envie de participer Ă  l’élection. Que je sois choisie comme dirigeante n’augurerait rien de bon. Je pensais qu’ĂȘtre dirigeant Ă©tait un travail difficile et ingrat. Il est obligatoire de bien le faire et, en cas d’erreur, les dirigeants sont toujours tenus responsables. On peut dire Ă  juste titre Tout le monde en tire les bĂ©nĂ©fices, mais une seule personne est blĂąmĂ©e. » Quand j’avais Ă©tĂ© dirigeante, prĂ©cĂ©demment, j’avais transgressĂ©. Si je servais de nouveau comme dirigeante et faisais quelque chose Ă  l’encontre des principes, causant un grand tort au travail de la maison de Dieu, au mieux, je serais renvoyĂ©e, au pire, je serais expulsĂ©e, ce qui me ferait perdre ma chance de salut. Voyant les choses comme ça, j’ai rĂ©pondu que mon problĂšme cardiaque s’était aggravĂ© et que je ne pouvais pas participer Ă  l’élection. Je me suis sentie un peu coupable, sur le coup. N’évitais-je pas l’élection ? Mais je pensais que je n’étais vraiment pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeante et mon cƓur me faisais souffrir, alors j’avais une bonne raison de me dĂ©filer. Cette pensĂ©e a eu raison de mon malaise et de ma culpabilitĂ©. Un mois plus tard, la dirigeante a dit dans une lettre que les frĂšres et sƓurs m’avaient de nouveau choisie comme candidate. AprĂšs avoir lu la lettre, je me suis demandĂ© Pourquoi me recommandent-ils comme candidate ? Être un dirigeant est si dangereux ! ÒȘa reprĂ©sente beaucoup de travail et de problĂšmes, et je pourrais ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e n’importe quand. Il y a eu des gens, autour de moi, qui ne semblaient pas avoir de problĂšme tant qu’ils n’étaient pas dirigeants, mais dĂšs qu’ils le sont devenus, ils ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s comme faux dirigeants et renvoyĂ©s, ou identifiĂ©s comme des antĂ©christs et expulsĂ©s. Il semble que le statut rĂ©vĂšle effectivement les gens. » J’ai donc dĂ©cidĂ© de ne pas me prĂ©senter Ă  l’élection. Mais la dirigeante a dit que je devais ĂȘtre lĂ  Ă  l’heure, alors j’y suis allĂ©e Ă  contrecƓur. Je n’ai pas eu grand-chose Ă  dire au cours de ces journĂ©es de rĂ©unions. Quand est venu le moment de voter, j’ai hĂ©sitĂ© un long moment. Finalement, j’ai dit Ă  tout le monde Je m’abstiens. Je ne voterai pas et je ne me prĂ©senterai pas. » Peu aprĂšs mon retour Ă  la maison, ma maladie est rĂ©apparue. J’ai eu la diarrhĂ©e, de la fiĂšvre, et les mĂ©dicaments ne me faisaient rien. AprĂšs plusieurs jours, mon Ă©tat s’est enfin amĂ©liorĂ©, mais mes bras et mon cou se sont couverts de taches rouges. ÒȘa s’est aggravĂ©. DĂšs que je commençais Ă  transpirer, tout mon corps me faisait mal. En quelques jours, j’ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©puisĂ©e par ces maladies. J’ai compris que je n’étais pas malade par hasard, que c’était la discipline de Dieu, mais je ne savais pas comment rĂ©flĂ©chir. J’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me connaisse et que j’en tire une leçon. Plus tard, quand ma dirigeante a appris que je souffrais de ces maladies, elle m’a conseillĂ© de rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers l’élection et elle a trouvĂ© un passage de la parole de Dieu qui concernait mon Ă©tat. Avec une nature satanique, une fois que les gens obtiennent un statut, ils sont en danger. Alors que faut-il faire ? N’ont-ils aucun chemin Ă  suivre ? Ce fait ne peut-il pas ĂȘtre changĂ© ? Dites-moi, au moment oĂč des gens corrompus obtiennent un statut – indĂ©pendamment de qui ils sont – deviennent-ils des antĂ©christs ? Est-ce absolu ? S’ils ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©, alors ils deviendront des antĂ©christs, mais s’ils poursuivent la vĂ©ritĂ©, ce ne sera pas le cas. C’est absolument vrai si les gens ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ils deviendront Ă  coup sĂ»r des antĂ©christs. Et est-il vrai que tous ceux qui marchent sur le chemin des antĂ©christs le font Ă  cause de leur statut ? Non, c’est surtout parce qu’ils n’aiment pas la vĂ©ritĂ©, parce qu’ils n’ont pas raison. Qu’ils aient un statut ou non, les gens qui ne recherchent pas la vĂ©ritĂ© marchent tous sur le chemin des antĂ©christs. Quel que soit le nombre de sermons qu’ils ont entendus, ces gens n’acceptent pas la vĂ©ritĂ©, ils ne suivent donc pas le bon chemin et ils suivent donc inĂ©vitablement le chemin tortueux. C’est comme la maniĂšre de se nourrir certains, au lieu de consommer des aliments pouvant nourrir sainement leur corps et favoriser une existence normale, prĂ©fĂšrent consommer des choses qui leur font du mal et, au bout du compte, se tirer une balle dans le pied. N’est-ce pas leur propre choix ? Quand ils sont rejetĂ©s, certains dirigeants et ouvriers diffusent des notions, ils disent “Ne soyez pas dirigeants, et n’allez pas obtenir un statut. Les gens sont en danger dĂšs l’instant oĂč ils obtiennent un quelconque statut, et Dieu les exposera ! Une fois exposĂ©s, ils ne seront mĂȘme pas en mesure d’ĂȘtre des croyants ordinaires et ils ne recevront aucune bĂ©nĂ©diction.” Qu’est-ce que cela signifie donc ? Au mieux, cela reflĂšte une mauvaise perception de Dieu ; au pire, c’est un blasphĂšme contre Lui. Si tu ne suis pas le bon chemin, que tu ne poursuis pas la vĂ©ritĂ© et que tu ne suis pas la voie de Dieu mais persistes Ă  emprunter la voie des antĂ©christs pour te retrouver sur le chemin de Paul et finir par connaĂźtre le mĂȘme sort, la mĂȘme fin que lui, Ă  blĂąmer Dieu et Le juger injuste, n’es-tu pas alors un vĂ©ritable exemple d’antĂ©christ ? Une telle conduite est maudite ! Lorsque les gens ne comprennent pas la vĂ©ritĂ©, ils vivent toujours selon leurs notions et leurs imaginations, interprĂštent frĂ©quemment Dieu de maniĂšre erronĂ©e et sentent que les actions de Dieu sont en contradiction avec leurs propres notions, ce qui produit chez eux des Ă©motions nĂ©gatives cela se produit parce que les gens ont des tempĂ©raments corrompus. Ils disent des choses nĂ©gatives et pleines de ressentiment parce que leur foi est trop dĂ©risoire, leur stature est trop petite et ils comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s – ce qui est tout Ă  fait pardonnable, et Dieu n’en garde pas le souvenir. Et pourtant, il y a ceux qui ne suivent pas le bon chemin, qui suivent spĂ©cifiquement le chemin qui consiste Ă  tromper Dieu, Ă  Lui rĂ©sister, Ă  Le trahir et Ă  lutter contre Lui. Ces gens sont finalement punis et maudits par Dieu, et plongĂ©s dans la perdition et la destruction. Comment en arrivent-ils lĂ  ? C’est parce qu’ils n’ont jamais rĂ©flĂ©chi et ne se sont jamais connus eux-mĂȘmes, parce qu’ils n’acceptent pas du tout la vĂ©ritĂ©, sont imprudents et volontaires, refusent obstinĂ©ment de se repentir et se plaignent de Dieu aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et rejetĂ©s, disant que Dieu n’est pas juste. Ces gens pourraient-ils ĂȘtre sauvĂ©s ? Non. Ils ne le pourraient pas. Alors, est-il vrai que tous ceux qui sont rejetĂ©s sont au-delĂ  du salut ? On ne peut pas dire qu’ils soient totalement irrĂ©cupĂ©rables. Il y a ceux qui comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s et qui sont jeunes et inexpĂ©rimentĂ©s, qui, une fois qu’ils sont devenus dirigeants ou ouvriers et ont un statut, sont dirigĂ©s par leur tempĂ©rament corrompu, recherchent un statut, jouissent de ce statut et suivent donc naturellement le chemin des antĂ©christs. Si, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et jugĂ©s, ils sont capables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, en abandonnant la mĂ©chancetĂ© comme les habitants de Ninive, en ne suivant plus le chemin du mal comme ils le faisaient auparavant, alors ils ont encore la possibilitĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s. Mais quelles sont les conditions d’une telle opportunitĂ© ? AprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et identifiĂ©s, ils se repentent vraiment, ils sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, ce qui signifie qu’ils ont encore un peu d’espoir. S’ils sont incapables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et n’ont aucune intention de se repentir vĂ©ritablement, ils seront complĂštement rejetĂ©s » Il faut avoir un chemin de pratique spĂ©cifique pour corriger ses tempĂ©raments corrompus », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, ma dirigeante m’a rappelĂ© Tu crois qu’en tant que dirigeant, on est facilement rĂ©vĂ©lĂ©, remplacĂ© ou chassĂ©. Ce point de vue est-il correct ? Que les gens soient finalement rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s dĂ©pend du fait qu’ils recherchent la vĂ©ritĂ© ou non et du chemin qu’ils prennent. Le fait qu’ils soient dirigeants ou non ne change rien. Si quelqu’un ne recherche pas la vĂ©ritĂ© ou n’emprunte pas le bon chemin en tant que dirigeant, s’il fait le mal, perturbe le travail de la maison de Dieu et refuse de se repentir, il sera immanquablement rĂ©vĂ©lĂ© et chassĂ©. Mais quand certains, mĂȘme s’ils commettent des erreurs et des transgressions dans leurs devoirs, sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, la maison de Dieu leur donne d’autres chances. S’ils ont un petit calibre et ne sont pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeant, ils seront transfĂ©rĂ©s Ă  un devoir qui leur convient, mais ils ne seront pas renvoyĂ©s ou chassĂ©s Ă  la lĂ©gĂšre. Parmi tous les dirigeants dans la maison de Dieu, pourquoi certains comprennent-ils de mieux en mieux la vĂ©ritĂ© et s’amĂ©liorent-ils dans leurs devoirs ? Pourquoi certains font-ils des choses mauvaises et sont-ils rĂ©vĂ©lĂ©s en tant que faux dirigeants et antĂ©christs, puis rejetĂ©s ? Leurs Ă©checs ont-ils le moindre rapport avec le fait d’ĂȘtre des dirigeants ? De plus, la maison de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© de nombreux malfaiteurs, qui n’étaient pas dirigeants pour la plupart. Ils ont Ă©tĂ© rejetĂ©s parce qu’ils haĂŻssaient la vĂ©ritĂ©, n’empruntaient pas le bon chemin, se dĂ©chaĂźnaient dans leurs devoir et causaient des dĂ©rangements et des perturbations. Cela a-t-il un rapport avec le fait d’ĂȘtre un dirigeant ? » J’ai Ă©tĂ© un peu Ă©branlĂ©e et j’ai rĂ©pondu C’est vrai, tous les dirigeants ne sont pas rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s dĂšs qu’ils ont un statut. Quand ça se produit, c’est parce qu’ils n’empruntent pas le bon chemin, ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ne dĂ©sirent que les bĂ©nĂ©fices du statut, agissent arbitrairement, se dĂ©chaĂźnent et causent des dĂ©rangements et des perturbations. C’est ce qui fait d’eux des faux dirigeants et des antĂ©christs qui sont rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s. » J’ai pensĂ© Ă  FrĂšre Wu, qui avait Ă©tĂ© renvoyĂ© quelque temps plus tĂŽt. En tant que dirigeant, il Ă©tait toujours arrogant, il s’affichait, il rabaissait et ostracisait ses partenaires en permanence, ce qui les empĂȘchait d’accomplir leurs devoirs normalement parce qu’ils se sentaient Ă©touffĂ©s. Ses dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui de nombreuses fois, mais il n’avait jamais changĂ© et il n’avait Ă©tĂ© renvoyĂ© qu’aprĂšs ça. J’ai rĂ©flĂ©chi sur les annĂ©es oĂč j’avais Ă©tĂ© dirigeante. J’avais souvent agi arbitrairement. Quand mes frĂšres et sƓurs avaient dĂ©noncĂ© les deux dirigeants d’Église, je n’avais pas enquĂȘtĂ© et vĂ©rifiĂ© comme les principes l’exigent. À la place, j’avais condamnĂ© ces dirigeants, allant jusqu’à les renvoyer et les expulser. Le rĂ©sultat, c’était que j’avais fait du mal aux deux dirigeants et semĂ© le chaos dans l’Église. En y repensant, j’ai compris que tout ce que j’avais fait Ă©tait mal. Je gĂąchais le travail de la maison de Dieu et la chance d’ĂȘtre sauvĂ©s des autres. Heureusement, mes dĂ©cisions erronĂ©es et injustes avaient Ă©tĂ© dĂ©couvertes et annulĂ©es. Sans ça, les consĂ©quences auraient Ă©tĂ© terribles. J’ai compris que mon renvoi n’avait rien Ă  voir avec mon statut ni le fait que j’étais dirigeante. J’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e parce que mon tempĂ©rament Ă©tait trop arrogant, je ne cherchais pas la vĂ©ritĂ©, j’agissais arbitrairement, sans entrer dans le dĂ©tail, je perturbais le travail de l’Église, et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme et ne m’étais pas repentie quand j’avais Ă©tĂ© Ă©mondĂ©e et traitĂ©e. VoilĂ  pourquoi on m’avait renvoyĂ©e. C’était en accord avec les principes et c’était la justice de Dieu. NĂ©anmoins, je ne me connaissais pas et je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu. Je pensais que j’avais Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e parce que j’étais une dirigeante, que les exigences de la maison de Dieu Ă©taient trop grandes et que je n’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e que pour deux erreurs. C’était si absurde et dĂ©raisonnable ! C’est alors que j’ai compris que si je n’avais pas Ă©tĂ© renvoyĂ©e Ă  temps et arrĂȘtĂ©e dans mon Ă©lan, vu mon tempĂ©rament arrogant, j’aurais commis de bien plus grands mĂ©faits. Mon renvoi Ă©tait la protection de Dieu pour moi et une bonne occasion de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. J’ai songĂ© Ă  SƓur Wang, qui avait Ă©tĂ© ma partenaire. Elle avait Ă©tĂ© renvoyĂ©e mais, aprĂšs son Ă©chec, elle avait su rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, en tirer une leçon et se repentir Ă  Dieu. Plus tard, quand elle Ă©tait redevenue dirigeante, elle avait pu chercher les principes de la vĂ©ritĂ© quand elle agissait et elle avait clairement progressĂ©. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai compris que les gens n’étaient pas rejetĂ©s parce qu’ils avaient un statut. Ils se nuisent Ă  eux-mĂȘmes Ă  cause de leurs tempĂ©raments corrompus. Si nos tempĂ©raments corrompus ne sont pas rĂ©solus, mĂȘme si on n’est pas dirigeant et ne commet pas de mĂ©fait dans une position de dirigeant, on sera rejetĂ©s pour ne pas avoir recherchĂ© la vĂ©ritĂ©. Quand je l’ai compris, mon Ă©tat a commencĂ© Ă  changer, mais j’avais encore des inquiĂ©tudes. Je me disais Ma comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ© est superficielle et les dirigeants doivent dĂ©cider de beaucoup de choses. Si je perturbe le travail de la maison de Dieu par des arrangements inappropriĂ©s, je risque de commettre des transgressions. Si je ne suis pas dirigeante et ne fais pas ce genre de travail, je ne commettrai pas de mĂ©faits et ne rĂ©sisterai pas Ă  Dieu Ă  cause de ça. Je crois toujours qu’il vaut mieux que je ne me prĂ©sente pas Ă  l’élection. » À ce moment-lĂ , j’ai lu un passage de la parole de Dieu Je ne veux voir personne se sentir comme si Dieu l’avait laissĂ© pour compte, l’avait abandonnĂ© ou lui avait tournĂ© le dos. Je voudrais seulement vous voir tous emprunter le chemin qui consiste Ă  poursuivre la vĂ©ritĂ© et chercher Ă  comprendre Dieu, allant hardiment de l’avant avec une volontĂ© sans faille, sans crainte, sans fardeau. Quels que soient les torts que tu as commis, peu importe Ă  quel point tu t’es Ă©garĂ© ou tu as mal agi, ne laisse pas cela devenir un fardeau ou un boulet que tu doives traĂźner dans ta quĂȘte de comprĂ©hension de Dieu. Poursuis ta marche en avant. Le salut de l’homme occupe toujours une place dans le cƓur de Dieu. Cela ne change jamais c’est la partie la plus prĂ©cieuse de Son essence » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique VI », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a profondĂ©ment Ă©mue. Dieu ne renonce pas Ă  sauver les gens Ă  cause d’échecs et de transgressions temporaires. À la place, Il leur donne des occasions de se repentir. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs et des transgressions dans son devoir. Tant que les gens peuvent changer, Dieu continuera Ă  les guider. Je me suis souvenue que Dieu ne m’avait pas abandonnĂ©e malgrĂ© mes transgressions. Il n’avait fait que me chĂątier et me discipliner, puis Il avait utilisĂ© des gens pour m’exposer et me traiter, me dĂ©mettre de mon rĂŽle de dirigeante et m’inciter Ă  rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu, ne voulant pas ĂȘtre une dirigeante ou une ouvriĂšre, alors Dieu avait utilisĂ© d’autres gens pour Ă©changer avec moi Ă  plusieurs reprises et Il avait attendu que je change. Depuis le dĂ©but, Dieu avait Ă©tĂ© patient et tolĂ©rant envers moi. Il m’avait donnĂ© du temps et des opportunitĂ©s dans l’espoir que j’accepterais la vĂ©ritĂ© et me repentirais. Contrairement Ă  ce que je croyais, Il ne m’avait pas condamnĂ©e et rejetĂ©e pour une seule transgression. Quand je l’ai compris, j’ai Ă©prouvĂ© du remords et de la culpabilitĂ©, alors j’ai priĂ© Dieu Ô Dieu ! Je suis trop rebelle. Je ne veux plus mal Te comprendre et me mĂ©fier de Toi. Je veux me repentir, maintenant. S’il Te plaĂźt, guide-moi pour que je change mon Ă©tat incorrect. » AprĂšs ça, je me suis demandĂ© pourquoi j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui. Quelle Ă©tait la racine du problĂšme ? À ce moment-lĂ , ma dirigeante m’a envoyĂ© un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidĂ©e. Dieu Tout-Puissant dit Si tu es malhonnĂȘte, alors tu seras mĂ©fiant et suspicieux Ă  propos de tous les gens et de toutes choses, et ainsi ta foi en Moi sera bĂątie sur un fondement de suspicion. Je ne pourrais jamais reconnaĂźtre une telle foi. Manquant d’une foi sincĂšre, tu es encore plus dĂ©pourvu d’un amour rĂ©el. Et si tu es enclin Ă  douter de Dieu et Ă  t’interroger Ă  Son sujet quand bon te semble, alors, sans l’ombre d’un doute, tu es le plus malhonnĂȘte de tous les gens. Tu te demandes si Dieu peut ĂȘtre comme l’homme pĂ©cheur impardonnable, de caractĂšre mesquin, dĂ©nuĂ© d’équitĂ© et de raison, privĂ© du sens de la justice, livrĂ© Ă  des tactiques vicieuses, sournois et trompeur, ainsi que rĂ©joui par le mal et les tĂ©nĂšbres, etc. Si les gens ont de telles pensĂ©es, n’est-ce pas parce qu’ils manquent de la moindre connaissance de Dieu ? Une telle foi n’est rien d’autre que pĂ©cheresse ! » Comment connaĂźtre le Dieu sur terre », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a permis de comprendre que j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui parce que ma nature Ă©tait trop malhonnĂȘte. AprĂšs avoir Ă©tĂ© renvoyĂ©e, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi au chemin qui m’avait menĂ©e Ă  l’échec et je n’en avais pas tirĂ© de leçon pour ne pas reproduire mes erreurs. Au contraire, je m’étais dit qu’on Ă©tait trop facilement rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© en tant que dirigeant. Je pensais que le titre de dirigeante » m’avait nui. J’avais mĂȘme imaginĂ© Dieu comme un monarque terrestre qui condamnait les gens Ă  mort quand ils faisaient quelque chose de mal, alors les Ă©lections me terrifiaient. Je craignais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et de perdre ma fin en Ă©tant choisie comme dirigeante, alors j’étais toujours sur mes gardes et sur la dĂ©fensive en prĂ©sence de Dieu. L’exaltation de Dieu me semblait malveillante et je trouvais excuse aprĂšs excuse pour Ă©viter de me prĂ©senter aux Ă©lections. J’étais si malhonnĂȘte ! La maison de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers pour leur donner l’occasion de pratiquer, afin qu’ils comprennent la vĂ©ritĂ© et assument le mandat de Dieu. Mais je pensais que Dieu avait l’intention de me rĂ©vĂ©ler et de me rejeter. Je comprenais mal Dieu et blasphĂ©mais contre Lui ! Je croyais en Dieu, mais je voyais toujours les choses du point de vue des injustes, je doutais et je me mĂ©fiais de Dieu. Par lĂ , j’exposais des tempĂ©raments mauvais et sataniques. Croire de cette maniĂšre n’était-il pas rĂ©sister Ă  Dieu ? Plus tard, aprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai mieux compris la volontĂ© de Dieu. La parole de Dieu dit Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te mettre Ă  nu ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as Ă©tĂ© rejetĂ© ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. [
] En fait, dans bien des cas, les inquiĂ©tudes des gens sont liĂ©es Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts. De façon gĂ©nĂ©rale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils se disent toujours “Et si Dieu me met Ă  nu, me chasse et me rejette ?” C’est ta mauvaise comprĂ©hension de Dieu ce ne sont que tes pensĂ©es. Il faut que tu dĂ©termines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il met les gens Ă  nu, ce n’est pas fait pour les rejeter. Les gens sont mis Ă  nu pour exposer leurs dĂ©fauts, leurs erreurs et l’essence de leur nature, pour qu’ils se connaissent eux-mĂȘmes et soient capables d’une vraie repentance. De ce fait, si les gens sont mis Ă  nu, c’est pour que leur vie puisse grandir. Sans une comprĂ©hension pure, les gens sont susceptibles de mal interprĂ©ter Dieu et de devenir nĂ©gatifs et faibles. Ils peuvent mĂȘme cĂ©der au dĂ©sespoir. En fait, ĂȘtre mis Ă  nu par Dieu ne signifie pas nĂ©cessairement que les gens seront chassĂ©s. Il s’agit de te donner une connaissance et te faire te repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution lorsqu’ils prĂ©sentent des manifestations de corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc parfois, Il met les gens Ă  nu, exposant leur laideur et leur Ă©tat pitoyable et leur permettant de se connaĂźtre, ce qui permet que leur vie grandisse. Mettre les gens Ă  nu a deux implications diffĂ©rentes Concernant les mĂ©chants, ĂȘtre mis Ă  nu signifie qu’ils sont chassĂ©s. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, c’est un rappel et un avertissement cela les amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, Ă  voir leur vĂ©ritable Ă©tat et Ă  ne plus ĂȘtre capricieux et irrĂ©flĂ©chis, car continuer ainsi serait dangereux. Mettre ainsi les gens Ă  nu, c’est leur adresser un rappel afin que, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils ne soient pas confus et nĂ©gligents, qu’ils ne soient pas blasĂ©s, qu’ils ne se contentent pas d’ĂȘtre seulement un peu efficaces, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en rĂ©alitĂ©, Ă  l’aune de ce que Dieu demande, ils sont loin d’ĂȘtre Ă  la hauteur mais sont toujours prĂ©tentieux et complaisants et pensent que tout va bien dans leur conduite. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu met Ă  nu leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-lĂ , tu dois rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme accomplir ton devoir de cette maniĂšre est inadĂ©quat, il y a de la rĂ©bellion en jeu, il y a lĂ -dedans trop de choses nĂ©gatives, c’est tout Ă  fait superficiel et si tu ne te repens pas, tu seras puni. Lorsque Dieu te discipline, et te met Ă  nu, cela ne signifie pas nĂ©cessairement que tu seras chassĂ©. Cette question doit ĂȘtre abordĂ©e correctement » Ce n’est qu’en pratiquant les paroles de Dieu que l’on peut obtenir un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand j’ai lu ces paroles de Dieu, j’ai Ă©tĂ© trĂšs Ă©mue. Je me suis aussi sentie honteuse et coupable. Dieu rĂ©vĂšle les gens, les traite et les discipline pour qu’ils se connaissent, se repentent et changent. Dieu essayait sincĂšrement de me sauver, mais quand j’avais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  l’émondage, au traitement et Ă  l’échec, je n’avais pas vu Ses bonnes intentions. Je m’étais agrippĂ©e obstinĂ©ment aux absurditĂ©s et aux mensonges de Satan comme Plus on s’élĂšve et plus dure sera la chute » et On est bien seul au sommet ». Je croyais qu’ĂȘtre un dirigeant dans la maison de Dieu Ă©tait comme ĂȘtre un responsable dans le monde et que plus ma position serait Ă©levĂ©e, plus je risquerais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et rejetĂ©e. Pendant toutes ces annĂ©es, alors que je comprenais mal Dieu et me mĂ©fiais de Lui, mon cƓur est restĂ© fermĂ© Ă  Dieu. J’ai rĂ©pĂ©titivement refusĂ© le mandat et les environnements de Dieu, Ă©vitĂ© les Ă©lections, je suis restĂ©e extrĂȘmement prudente et inquiĂšte dans mon devoir, alors je ne pouvais pas me consacrer entiĂšrement Ă  Dieu et Lui donner mon cƓur, et j’avais toujours une attitude tiĂšde envers la vĂ©ritĂ©, comme un non-croyant. J’étais prise dans le piĂšge de Satan, blessĂ©e par Satan, et je ne voyais mĂȘme pas Ă  quel point ça nuisait Ă  ma vie. À prĂ©sent, j’étais au bord du gouffre, alors je ne pouvais plus mal comprendre Dieu et Lui faire du mal. J’ai priĂ© Dieu en silence Ô Dieu, je veux me repentir Ă  Toi et traiter correctement les Ă©lections. Que je sois choisie ou non, je me soumettrai Ă  Tes arrangements. » Quand le moment des Ă©lections est venu, j’étais encore partagĂ©e. J’ai pensĂ© S’ils me choisissent vraiment, je devrai l’accepter et obĂ©ir mais, comme on dit, “Il faut un marteau puissant pour forger le fer”. Comme mon calibre et mes compĂ©tences sont limitĂ©s, il vaudrait mieux que quelqu’un d’autre soit Ă©lu. Comme ça, je ne serai pas rĂ©vĂ©lĂ©e une nouvelle fois. » Dans mon dilemme, j’ai subitement pensĂ© Ă  une parole de Dieu Lorsque les Ă©lus de Dieu accomplissent leur devoir dans le royaume et que les crĂ©atures de Dieu accomplissent leur devoir devant le CrĂ©ateur, ils doivent avoir un cƓur qui craint Dieu et procĂ©der calmement, et ne doivent pas ĂȘtre lĂąches, timides ni craintifs est-il honteux de faire son devoir ? » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a rĂ©veillĂ©e sur-le-champ. Oui, au moment critique, je voulais battre en retraite et fuir. Je m’étais toujours inquiĂ©tĂ©e Ă  propos des Ă©lections. OĂč Ă©taient mon courage et ma dignitĂ© ? J’étais aussi lĂąche et timide que Dieu le disait ! Il est juste et convenable qu’un ĂȘtre créé accomplisse son devoir, c’est honorable. Mais je me dĂ©filais et me cachais dans une lĂąchetĂ© honteuse. C’était si stupide et pathĂ©tique ! Je devais me tourner vers Dieu, ĂȘtre une personne simple et honnĂȘte, arrĂȘter de m’inquiĂ©ter pour ma fin et ma destination et donner mon cƓur Ă  Dieu. Que je sois Ă©lue ou non, je devais avoir une attitude d’obĂ©issance envers Dieu et, si j’étais choisie, je devais l’accepter, obĂ©ir et bien accomplir mon devoir. Quand j’ai franchi cette ligne dans ma tĂȘte, j’ai eu l’impression que mon cƓur Ă©tait dĂ©livrĂ© d’un grand poids et j’ai Ă©tĂ© submergĂ©e par le soulagement. Quand les rĂ©sultats sont tombĂ©s, j’ai Ă©tĂ© Ă©lue avec une autre sƓur. Cette fois, je n’étais plus sur la dĂ©fensive, dans l’incomprĂ©hension, et je n’ai plus craint d’ĂȘtre rejetĂ©e si je n’accomplissais pas bien mon devoir. À la place, j’ai voulu chĂ©rir cette opportunitĂ© et accomplir mon devoir du mieux possible pour compenser mes transgressions passĂ©es. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu Avez-vous peur de suivre le chemin des antĂ©christs ? Oui. La peur est-elle utile en soi ? Non, la peur seule ne peut pas rĂ©soudre le problĂšme. Il est normal d’avoir peur. Avoir peur dans l’ñme montre que l’on est un amoureux de la vĂ©ritĂ©, qu’on est quelqu’un qui est prĂȘt Ă  s’efforcer d’aller vers la vĂ©ritĂ© et qui est prĂȘt Ă  la poursuivre. Si vous avez peur dans l’ñme, alors vous devriez rechercher la vĂ©ritĂ© et trouver le chemin de pratique. Vous devez commencer par apprendre Ă  coopĂ©rer avec les autres en harmonie. S’il y a un problĂšme, rĂ©solvez-le par l’échange et la discussion, afin que chacun puisse connaĂźtre les principes ainsi que le raisonnement et le programme spĂ©cifiques concernant la rĂ©solution. Cela ne t’évite-t-il pas de prendre des mesures dictatoriales unilatĂ©rales ? De plus, tu dois apprendre Ă  laisser le groupe te superviser et t’aider. Cela demande de la tolĂ©rance et de l’ouverture d’esprit. [
] Il est certes nĂ©cessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant Ă  une rĂ©flexion constante. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point de prendre une mesure dictatoriale et unilatĂ©rale et que quelqu’un Ă  proximitĂ© le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hĂąter de rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antĂ©christs. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas prĂ©servĂ© sans le savoir ? Tu l’es c’est ta prĂ©servation » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu indique le principe de pratique pour Ă©viter de prendre le mauvais chemin, qui est de chercher la vĂ©ritĂ© quoi qu’il arrive, de discuter des choses avec les frĂšres et sƓurs, de coopĂ©rer harmonieusement, d’accomplir notre devoir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, de ne pas agir arbitrairement par tempĂ©rament arrogant, de ne pas exiger d’avoir le dernier mot et d’accepter la supervision de nos frĂšres et sƓurs dans nos devoirs. Si on Ă©choue Ă  accomplir notre devoir parce qu’on craint de prendre le chemin des antĂ©christs et d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©s, on ne rĂ©soudra pas de problĂšmes et on gĂąchera notre chance de gagner la vĂ©ritĂ© et d’ĂȘtre sauvĂ©s. C’est comme s’affamer par peur de s’étouffer. Plus tard, j’ai tirĂ© les leçons de mes Ă©checs prĂ©cĂ©dents et j’ai eu une attitude bien plus correcte dans mon devoir. J’ai consciemment discutĂ© des choses avec les autres et j’ai Ă©tĂ© capable de bien travailler avec eux. On a cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ© ensemble. AprĂšs quelque temps, j’ai vu la direction de Dieu et mes devoir ont produit des rĂ©sultats. GrĂące Ă  cette expĂ©rience, j’ai vu que Dieu ne m’avait pas rejetĂ©e Ă  cause de mes transgressions et qu’Il ne m’avait pas abandonnĂ©e parce que je me mĂ©fiais de Lui. À la place, Il a arrangĂ© des gens, des problĂšmes et des choses afin de m’inciter Ă  venir devant Lui pour rĂ©flĂ©chir sur mon tempĂ©rament corrompu, de maniĂšre Ă  ce que je comprenne Sa volontĂ©, que j’arrĂȘte de mal Le comprendre et que j’accomplisse mon devoir avec contentement. Dieu soit louĂ© !

qu est ce qui reflechi sans reflechir